Depuis Noël
J'ai publié les photos sur flickr.com pour + de facilité.
Je reviendrai sur ce blog ultérieurement.
J'ai publié les photos sur flickr.com pour + de facilité.
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La neige a débuté le dimanche pour se poursuivre toute la nuit et nous prendre de court le lendemain
cf photos prises avant que ciel s'assombrisse le lundi en fin de matinée.
cf la photo de l'entrée de l'appartement ci-contre où j'avais installé la chaise pour prendre le soleil en attendant que les routes soient déneigées, persuadée que j'étais que le prétexte de la neige ne pourrait en constituer un pour me dérober à mes obligations...
Mais à 10.30 encore, les rues n'étaient toujours pas dégagées et la voiture dissimulée sous sous une bonne couche de poudreuse... Même si je n'ai pas eu bcp de mal à la dégager, mes raquettes à la main et les pieds pour battre le bitume, j'ai estsimé qu'à bien y regarder cela pouvait constituer un prétexte crédible pour peu que je ne plaide pas la bonne foi :)
De toute manière personne n'allait venir vérifier et je ne voulais pas rater l'occasion d'être et de rester là.
Peut-être que l'occasion ne se représentera pas de sitôt et le précédent de l'hiver passé m'a laissé souvenir d'un instant de grâce de trop courte durée puisqu'entre 09.00 et 10.00 h, la neige de la nuit s'était liquéfié sous l'effet de la chaleur. Cette fois-ci en revanche, c'était loin d'être le cas.
Pour les photos, y en a deux à cause des formats "St. Martin sous la neige" / "St. Martin sous la neige (suite...)
Samedi par contraste, l'éclairage et l'ambiance étaient plus automnal que les week-end précédents. Il faisait beau sur la terrasse, j'avais envie de lézardé et en quête de chaleur, je me suis rendue à la Cime de La Palu en partance directe de l'appartement par le chemin de Berthemont... une promenade qui ressemble fort à la Cime de La Piagu via le collet de Cotignol. L'un comme l'autre méritent vraiment d'être découverts par les cimes (Pour Piagu, par Le Pisset en partant de la Madonne ou mieux encore du Haut Boréon / Pour Palut, par la Baisse de Ferusson en partance de la Madonne... ) et non par ces chemins de basse altitude. Les abords faut bien l'avouer sont ddans ce cas passablement monotones pour ne pas dire besogneux pour reprendre le terme du proprio de la grange retapée là haut qui a eu la bonté de me donner de l'eau de Roquebilière (deux verres cul sec à pleine gorgée...) pour me désaltérer. De quoi redessendre le pied léger, à peine chancelant. De toute manière là encore personne ne viendra vérifier :) Pour les qq. photos se référer à l'album "Palu..."
l'Avant, ce sont les photos de la montée vers Prâle (j'avais prévu la baisse de Férusson mais le vent, à peine sortie de la voiture m'en a dissuadée), Prâle que j'ai connu sous de nombreux éclairages, climats et saisons ne devait pas me réserver de telles surprises....
Dès lors, il m'a été impossible de prendre des photos une fois là haut.
l'Après, c'est le lendemain. Je me suis contentée de monter à pieds faire la sieste au Conquet (au dessus du col de la Colmiane)... Bien au sec, dans l'herbe, avec Trevor Fergusson et un temps estival.
J'ai réuni l'avant / l'après dans le même album photo.
Bon anniversaire maman.
Ta fille "belle et bien vivante" comme disait l'autre...
Le Samedi, retour au Col de Salèze par la route déjà barrée par une cinquantaine de metres d'une neige très dure qui rend inaproprié le laissé passer comme le port des raquettes... J'ai connu le coin et foulé cette route dans de meilleurs conditions l'hiver passé et, la madonne une fois fermée, j'aurai l'occasion d'y revenir pour le laque nègre ou celui des adus...
C'est le lendemain matin que j'ai découvert le col de fenestre, point de passage entre l’Italie et la France, où les vestiges militaires (blockhaus, baraquements) témoignent d’un passé agité. Découvert comme je ne l'avais jamais vu et sous un manteau de neige plus important que la semaine passée... L'équation neige + soleil + montagne ça marche à tous les coups mais là force est d'admettre qu'un facteur exponentiel s'était invité pour opbimiser le truc.. Exceptionnel ! Seul l'appareil photo manquait au rendez-vous... J'y suis donc retournée en vitesse le lendemain (après m'être rendue au col des 2 caires côté Colmiane) pour m'arrêter au lac avec, on le notera sur les photos, un ciel très changeant... Histoire de vous donner qq. clichés seulement avant de me retrouver très vite dans l'ombre.
Pour les photos se référer au diaporama ave la date du week-end.
Je ne m'attendais pas à ça, persuadée après m'être rendue à la Colmiane la veille que je n'y trouverai pas plus qu'un peu de sucre glace sur des touffes dégarnies prises au dépourvu.
Les chaussures montantes restées à la cave, sauf à me tremper, je ne pouvais que prendre qq. clichés et humer l'air ambiant dans un cadre déserté à l'heure où j'y étais.
Après ça, je suis retournée à la Colmiane sur la route qui mène aux Millefonts, versant saisissant de froid mais très sec jusqu'à ce que l'orage éclate.
Dans un cas, le soleil n'était pas au RDV, dans l'autre, c'est ma batterie qui m'a fait défaut...
Néanmoins, pour vous faire partager un peu de l'ambiance automnale, je vous ai fait un patchwork des qq. chutes que j'ai conservées.
Retour au lac de Trécolpa pour samedi et découverte du Pas du Mont Colomb au dessus du refuge de la Madonne, avec des températures printannières qui m'insitaient plus à la sieste qu'à la crapahutade :)
On notera l'eau au départ de la rando scintillant d'éclats d'or, et de pierres qu'on croit précieuses.
Pour la photothèque, cliquer sur Patchwork
Via la Madonne des Fenestres.
Après une courte sieste, surgissant du nul part, semblant creuver le ciel, il était revenu...
Avec sa horde de brebies galantes :)
C'était lui qui un mois au paravent s'était interposé avant de mettre son troupeau en rang serré et de me tracer le chemin...
Respect maestro. Ta superbe n'a d'égal que le sourir de la bergère :)
Pour la bibliothèque, se référer à celui de la Cime du Pisset.
Au départ de la route de la Madone de Fenestre (1820 m).
Jouissant d'une juste notoriété, le circuit des lacs de Prals ou des "Cinq Lacs", comme on les nomme à Saint-Martin-Vésubie, permet de pénétrer au c1/2ur du Mercantour tout en bénéficiant de sentiers agréables et faciles, à la portée de tout marcheur.
Il est possible d'ajouter au circuit l'ascension en aller-retour de la baisse de Prals (2 339 m) ou de la cime de la Valette (2 496 m) : on y découvrira un panorama complet sur la haute Vésubie ainsi que sur les grandes cimes de l'Oisans. C'est là que je suis revenue en ce jour d'automne lumineux après avoir plus d'une fois essuyé pluie et grelons sur ces crètes...
ça se passe de commentaires... ici, on aura qu'un petit apperçu de l'immensité du lieu.
Pour les photos, se référer à la bibliotèqhe Cime de la Valette
Normalement je commence par le circuit des lac jusqu'au lac Gros pour rejoindre le col de Barn (2 452 m - b.84) qui ouvre une large perspective sur le vallon de Mollières, puis remonter hors-sentier (Sud-Est) sur le fil de la crête (b.77) culminant au mont Pépoiri (2 674 m).
Là, compte tenu de l'heure tardive, j'ai directement amorcé la montée hors-sentier par le versant opposé (Sud) une fois passé le col de Veillos.
Vers le Sud, les entailles creusées par les vallées (Vésubie, Tinée, Estéron notamment) descendent lentement vers la mer Méditerranée, bien visible ce jour.
Une fois là haut, j'ai eu l'occasion de faire qq. photos avant que la batterie se vide.
Parce qu'il est dit que le lieu reste imprenable, c'est peut-être même mieux ainsi...
Pour celles dérobées dans la lumière de la fin de journée, se référer à la bibliothèque Colmiane / Pépoiri.
Un autre jour, en redescendant versant Moyenne Tinée....
J'ai déposé La Maman et Le Papa en fin d'après midi au col de Varaine pour qu'ils n'aient que la descente à faire par le sentier en forêt. Puis suis repartie en voiture les attendre au village.
Cette vallée côté sud bénéficiant d'un fort ensoleillement en fin de journée, je disposais encore d'une petite heure pour capter les derniers rayons d'un soleil qu'avait rien d'estival mais qu'avait le mérite de n'être pas trop voilé.
J'avais quant à moi à peine eu le temps d'entamer côté Vésubie la Cime du Pisset sans trouver à trouver par où le chemin voulait me mener ce jour là...
Pour le diaporama des photos réalisées avec l'appareil des parents, se référer à celui de St. Dalmas